POUR LES PRÊTRES DU MONDE ENTIER
Lorsque j'était enfant, je considerais les prêtres comme des saint.
Dans ma jeunesse, ils étaient -pour moi- un peut éloigné.
Puis je compris bien des choses un Noël.
Ce prêtre jeune, était consideré par les anciens,
comme quelqu'un de pas fréquentable
Et justement à cause de cela. Je fis connaissance du
padre Juaquin.
Aprés la Messe du soir de Noël,
Je lui ai demandait si je pouvais le voir.
Il m'a invité à prendre le rêveillon avec lui.
Je l'ai ecouté durant Cinq heures.
On l'accusait de vouloir faire des etudes
d'infirmier pour aller aider les gens.
Car il me dit : Si non on passe le temps à discuter,
critiquer, regarder la TV.
A partir de cette nuit il devint mon Ami.
J'était presque ado. C'est quelques mois aprés que je
quittais mon Pays par l'appel du Seigneur.
Je dû rentrer pour des papiers.
Il est venu me voir.
Il m'a dit " je me sens si seul, que je suis
allé trouver des autres prêtres qui desobéissent"
Je priais trés fort pour mon ami.
Quelques mois aprés il eut un accident de voiture,
et il mourut.
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Il y a encore des prêtes qui souffrent de la solitude.
J'ai vu un qui buvait. Mais quels mots vrais et
poigants de cet homme de Dieu.
Je voudrais dire aux prêtres, avant de laisser dire
au pape François.
ECOUTEZ LES GENS !
SOYEZ HEUREUX D'ÊTRE SERVITEUR !
SOYEZ HUMBLES POUR DONNER CONFIANCE
AUX PAUVRES PECHEURS !
VOUS N'ETES PAS UN CHEZ D'ENTREPRISE,
MAIS UN SERVANT POUR L'HUMANITE.
Cela un prêtre le comprendra...mettra du temps,
mais il le comprendra.
Jamais une " UNE FEMME PRETRE"
Jamais une femme sera prêtre,
elle est crée pour être complement de l'homme.
Elle sera chef d'entrepise, Médecin...etc
Jamais une " UNE FEMME PRETRE"
Prions pour nos prêtres.
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Chaque année le début du Carême est aussi, pour le pape, l'occasion de rencontrer le clergé de Rome. Le 6 mars 2014, il les a enseignés sur la miséricorde.
En ce début du mois de mars, devant les prêtres romains réunis nombreux pour l'entendre salle Paul VI, le pape François a salué l'intuition du bienheureux Jean-Paul II qui a vu venir le "temps de la miséricorde". Il avait canonisé soeur Faustine Kowalska et institué le Dimanche après Pâques, la fête de la Divine Miséricorde. Le pape Jean-Paul II avait livré un bel enseignement à ce sujet durant son pontificat : "La misère est profonde sur cette terre, mais la miséricorde de Dieu descend encore plus bas, plus au fond pour pardonner, pour consoler, pour redonner confiance."
Parce que "les prêtres aseptisés, de laboratoires, n'aident pas l'Eglise", le pontife a souhaité encourager le clergé de Rome dans sa vocation à incarner cette miséricorde de Dieu. Il a invité chaque confesseur à avoir un coeur qui s'émeut.
Le pape François a donné un conseil particulier aux prêtres : mettre la miséricorde au coeur de leurs choix pastoraux, expliquant que cela passe par redonner la priorité au sacrement de la réconciliation.
"Heureux les miséricordieux car ils obtiendront miséricorde". "Nous prêtres" a-t-il ajouté, devons manifester la miséricorde de Dieu dans tous nos comportements.
A ce titre, la proximité est un critère pastoral. Le Saint-Père a invité les prêtres à être proches des fidèles, en particulier ceux qui aident à être plus miséricordieux : les enfants, les anciens, les personnes malades. Pour parvenir à cette proximité, le prêtre doit lui-même savoir se laisser embrasser par le Christ lorsqu'il reçoit le sacrement de la réconciliation. Comme le Christ, le prêtre est animé par les "entrailles de Dieu", il doit comme transpirer de compassion et de tendresse.
Rigorisme et laxisme dans le sacrement de réconciliation "ne sanctifient ni le prêtre ni le fidèle". Le pape a exhorté le clergé romain à se "charger de l'autre" et vivre la "souffrance pastorale" qu'il définit par "souffrir pour et avec les personnes".
"L’Église d’aujourd’hui, nous pouvons l’imaginer comme un "hôpital de campagne". Il faut soigner les blessures, tellement de blessures ! Tellement de blessures ! Il y a tellement de gens blessés, par les problèmes matériels, par les scandales, par les illusions du monde…"
Le Bon Samaritain est celui qui s'arrête auprès des souffrants, et qui panse les blessures avant de les analyser. Il ouvre son coeur à la souffrance. "Combien de fois trouvons-nous des justifications pour contourner le problème, la personne, l’autre ?"
Le pape ajouté des paroles très fortes : "A la fin ne sera pas admis à contempler la chair crucifiée du Christ que celui qui n'aura pas eu honte de la chair de son frère blessé et exclu".
A l'époque où Jorge Mario Bergoglio était vicaire général de Buenos Aires, le pape raconte avoir rencontré un confesseur, un modèle de miséricorde. Après avoir reçu dans son confessionnal tout le clergé de Buenos Aires, il a rejoint la maison du Père en toute discrétion, sans grande pompe. Aujourd'hui le vicaire devenu pape, porte autour du cou la croix du chapelet de cet homme et le prie de l'aider à vivre la miséricorde : "Donne-moi la moitié de ta miséricorde !" Il cherche la force du pardon dans "tout le bien que fait l’exemple d’un prêtre miséricordieux, d’un prêtre qui s’approche des blessures…" et invite chaque prêtre à le faire.