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Un Enfant au Cœur Fragile
27 avril 2014

INFORMATION SUR LES DEUX CANONISATIONS

 

Mes Amis. JE ne vous ai pas oublié. Ce matin j'ai regardé

comme beaucoup des chrétiens les canonisation de Jean XXIII

et Jean Paul II 

Que nous apporte cela pour nos vies ?

On va connaître d'avantage leur vie et, comprendre, 

comme ses deux hommes, ont parcouru leur chemin dans

LA FOI, L'ESPERANCE, ET LA CHARITE

Comment dans leur vie ordinaire de chaque jour, ont

vecu l'intimité avec le Christ.

On est assez prés dans le temps du Pape Jean Paul II

On l'a vu en pleine forme, puis trés affaibli par l'âge

et la maladie.

Il a tenu jusqu'au bout. Alors même qu'il avait perdu 

la voix. Il n'a pas eu honte de se montrer ainsi devant

nous. On a même dit, que ce n'était pas bien le voir ainsi.

Le Christ on le voit Crucifié. Dans ce Cris où il se montre,

devant nous comme un homme.  

"Mon Père pourquoi m'as-tu abandonné"

Et cela nous sert pour nous savoir compris. 

Lorsque nous sommes dans la détresse.

Dans la nuit de la foi.

Lorsque nous mêmes, crions vers Dieu en pleurant

dans la souffrance. Où es-tu mon Dieu ?

Combien des fois j'ai vecu ceci. 

Je vous assure, que jamais je suis resté sans réponse.

Peut-être pas dans l'inmediat, mais j'ai senti que 

mon cris ne tombait pas dans le vide.

Je vous embrasse et je prie pour vous, même pour ceux,

qui ne passerons pas par ce blog.

God bless you to

Que le Seigneur vous bénisse

Que el Senor os bendiga

Que le Signore sea con vos

Et les frères de Rusie, Courage, Dieu ne vous laisse pas tomber.

 

Les saints , les saintes de Dieu

 

                                                                                     

Saint-Siège - 27 avril 2014

Homélie du Pape François lors de la canonisation de Jean XXIII et Jean-Paul II

Homélie du Pape François. Messe de canonisation de Jean XXIII et Jean-Paul II, dimanche 27 avril 2014, à Rome.
 
capture_françois_homélie_canonisation
Au centre de ce dimanche qui conclut l'Octave de Pâques, et que Jean-Paul II a voulu dédier à la Divine Miséricorde, il y a les plaies glorieuses de Jésus ressuscité.

Il les montre dès la première fois qu'il apparaît auxApôtres, le soir même du jour qui suit le sabbat, le jour de larésurrection. Mais ce soir là Thomas n'est pas là ; et quand les autres lui disent qu'ils ont vu le Seigneur, il répond que s'il ne voyait pas et ne touchait pas les blessures, il ne croirait pas. Huit jours après, Jésus apparut de nouveau au Cénacle, parmi les disciples, et Thomas aussi était là ; il s'adresse à lui et l'invite à toucher ses plaies. Et alors cet homme sincère, cet homme habitué à vérifier en personne, s'agenouille devant Jésus et lui dit « Mon Seigneur et mon Dieu » (Jn 20,28).

Les plaies de Jésus sont un scandale pour la foi, mais elles sont aussi la vérification de la foi. C'est pourquoi dans le corps du Christ ressuscité les plaies ne disparaissent pas, elles demeurent, parce qu'elles sont le signe permanent de l'amour de Dieu pour nous, et elles sont indispensables pour croire en Dieu. Non pour croire que Dieu existe, mais pour croire que Dieu est amour, miséricorde, fidélité. Saint Pierre, reprenant Isaïe, écrit aux chrétiens : « Par ses plaies vous avez été guéris » (1P 2,24 ; Cf. Is 53,5). 

Jean XXIII et Jean-Paul II ont eu le courage de regarder les plaies de Jésus, de toucher ses mains blessées et son côté transpercé. Ils n'ont pas eu honte de la chair du Christ, ils ne se sont pas scandalisés de lui, de sa croix ; ils n'ont pas eu honte de la chair du frère (Cf. Is 58,7), parce qu'en toute personne souffrante ils voyaient Jésus. Ils ont été deux hommes courageux, remplis de la liberté et du courage (parresia) du Saint Esprit, et ils ont rendu témoignage à l'Église et au monde de la bonté de Dieu, de sa miséricorde.

Ils ont été des prêtres, des évêques, des papes du XXème siècle. Ils en ont connu les tragédies, mais n'en ont pas été écrasés. En eux, Dieu était plus fort ; plus forte était la foi en Jésus Christ rédempteur de l'homme et Seigneur de l'histoire ; plus forte était en eux la miséricorde de Dieu manifestée par les cinq plaies ; plus forte était la proximité maternelle de Marie.

En ces deux hommes, contemplatifs des plaies du Christ et témoins de samiséricorde, demeurait une « vivante espérance », avec une « joie indicible et glorieuse» (1P 1,3.8). L'espérance et la joie que le Christ ressuscité donne à sesdisciples, et dont rien ni personne ne peut les priver. L'espérance et la joie pascales, passées à travers le creuset du dépouillement, du fait de se vider de tout, de la proximité avec les pécheurs jusqu'à l'extrême, jusqu'à l'écœurement pour l'amertume de ce calice. Ce sont l'espérance et la joie que les deux saints Papes ont reçues en don du Seigneur ressuscité, qui à leur tour les ont données au peuple de Dieu, recevant en retour une éternelle reconnaissance. 

Cette espérance et cette joie se respiraient dans la première communauté des croyants, à Jérusalem, dont nous parlent les Actes des Apôtres (Cf. 2, 42-47). C'est une communauté dans laquelle se vit l'essentiel de l'Évangile, c'est-à-dire l'amour, la miséricorde, dans la simplicité et la fraternité.

C'est l'image de l'Église que le Concile Vatican II a eu devant lui. Jean XXIII et Jean-Paul II ont collaboré avec le Saint-Esprit pour restaurer et actualiser l'Église selon sa physionomie d'origine, la physionomie que lui ont donnée les saints au cours des siècles. N'oublions pas que ce sont, justement, les saints qui vont de l'avant et font grandir l'Église. Dans la convocation du Concile, Jean XXIII a montré une délicate docilité à l'Esprit Saint, il s'est laissé conduire et a été pour l'Église un pasteur, un guide-guidé. Cela a été le grand service qu'il a rendu à l'Église ; il a été le Pape de la docilité à l'Esprit. 

Dans ce service du Peuple de Dieu, Jean-Paul II a été le Pape de la famille. Lui-même a dit un jour qu'il aurait voulu qu'on se souvienne de lui comme du Pape de la famille. Cela me plaît de le souligner alors que nous vivons un chemin synodal sur la famille et avec les familles, un chemin que, du Ciel, certainement, il accompagne et soutient. 

Que ces deux nouveaux saints Pasteurs du Peuple de Dieu intercèdent pour l'Église, afin que, durant ces deux années de chemin synodal, elle soit docile au Saint Esprit dans son service pastoral de la famille. Qu'ils nous apprennent à ne pas nous scandaliser des plaies du Christ, et à entrer dans le mystère de lamiséricorde divine qui toujours espère, toujours pardonne, parce qu'elle aime toujours.

 

                                                              

 

 

 

 

 

 

 

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Confiance, Abandon,le tout petit enfant

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