MALADIE MENTALE_ Témoignage de Vie
Durant des annés, lorsque j'entendait parler de la maladie mentale,
je pensais à ce que la societé nous remvois. " Les fous"
Tout d'abord je parle de ce que j'ai vecu. Je ne fais pas une thése, je serais incapable.
Je me suis rendue compte, comme dans la societé, dés qu'il y a un fait grave, on donne rapidement le nom " un déséquilibré mental.
Je ne vais pa nier, le fait de la posibilité. Cependant, dans certains cas, on donne facilement le nom "déséquilibré"
Je ne vais pas defendre rien, ni ajuter rien, je ferai que dire
le vécu.
C'est depuis de bien des annés que je peux dire oui, au pronostique, maladie mentale. Comme un malade qui a un problème du foie " malade du foie"
MENTALE. Car cela se passe dans le cervaux. Parce que,
c'est à cause de cela, que elle a bien des noms.
Je parlerai donc de moi.
Durant toute ma vie, à partir de mon adolescence, je me souviens
d'avoir eu de façons de vivre trés liés à mes sentiments. A ma sensibilité. Par temperament je suis quelqu'un de passionée.
C'est précisement à cause de cela, que je me suis posé
de tas des questions, lorsque, ni la musique, ni l'écriture, ni la lecture ne me parlaient pas qu'avant. Cette fatigue latente
chez une personne "infatigable" Puis se fut ce que j'appelle j'explosion. Toute ma vie, mon enfance en particulier, sortaien
comme un fleuve qu'aucune barrière pouvait contenir.
Puis de pourquois. Pourquoi avais je subi ces maltraitences ?
Pourquoi ne me suis-je defendue lorsque on m'humiliait ?
Et, de telles angoisses devant la non réponse à mes questions.
Au debut je crus pouvoir m'ensortir toute seule. Puis, dans l'épuissement, je n'arrivais pas à sortir. Mes amis n'étaient pas
au courrant de rien, alors ils ne comprennaient pas mes absences.
Je dois rendre un grand MERCI à mon médecin généraliste.
Il a tout fait pour moi. Il m'écoutait, il comprennait mes angoisses.
Il prennait son temps à chaque visite. Puis comme un honnête médecin et homme de concience, il me dit : Je ne sais vraiment plus comme
vous aider. Il faut se diriger vers la psychiatrie. Et lui même
m'adressa dans un Centre médicaux social. Je me souviens de mon accueil. Du respect dont j'ai été traité. Du soulagement à niveau
moral que j'ai trouvé dans ces conversations. On m'écoutait, on me croyait et je me sentais soutenue.
Puis, je compris avec leur aide, mon besoin de m'hospitaliser.
Je suis rentrée librement. J'avais tellement besoin me laisser aller.
Je dois dire, que avant l'hospitalisation j'allais trés mal. Que
je pouvais à mon inssu desirer la mort. Qu'aller ver elle était pour
moi comme un soulagement.
Combien j'ai pu pleurer, laisser courrir mes peurs, mes angoisses.
Mes questions sur ma maladie. Je me disait folle. Et ce fut la rencontre
de mon médecin psychiatre, qui m'aida chaque jour. avec son ecoute, sa recherche pour établir un traitement adécuat pour moi.
Je continuerai un autre jour aprés Pâque
Cependant je veux dire déjà que ceci c'est un témoignage d'esperance.